Aujourd’hui, 16 avril 2008 demeurera un jour mémorable pour moi…
Nos projets d’aide humanitaire se terminent et nous voilà en vacances !
Quel beau cadeau ! Quelle belle finale !
Notre passage du Paraguay au Brésil se fait tout doucement en autobus. Un temps pour rêver…A la lueur du petit matin, voyageant à travers la campagne verdoyante du Paraguay, une image me reste imprégnée : celle des dames paraguayennes qui, à cinq heures trente du matin étaient là, à la grande maison, pour nous dire « Aurevoir » et non « Adieu ». Quelle chaleur humaine !
Puis, cette route toute droite nous mène au grand barrage d’ITAIPU. Un arrêt s’impose devant le plus grand barrage au monde et qui restera le plus puissant même si la construction actuelle de celui de la Chine le surpassera en grandeur. Il est classé comme l’une des « 7 Merveilles du Monde Moderne ». Pour moi, c’est aussi une œuvre grandiose parce que c’est le fruit d’une collaboration bi-nationale entre le Paraguay et le Brésil sur le fleuve-frontière Parana.
Après un dîner copieux au restaurant où l’on nous sert sur une épée la viande et l’ananas grillés, nous passons de la Ciudad Del Este, Paraguay, à la ville de Foz Iguazu, Brésil, par le pont Amistad qui surplombe le Parana.
En fin d’après-midi, une randonnée enchanteresse nous attend : pendant une heure trente, nous marchons sur un sentier aménagé dans la forêt, au sommet du canyon des chutes Iguazu avec vue panoramique des chutes du côté argentin. Un vrai amphithéâtre de 3 kilomètres de chutes étagées dont les eaux qui tombent dans le gouffre font un bruit assourdissant, des brumes à ne plus rien voir, et bien sûr des gouttelettes qui nous trempent en un rien de temps si l’on veut les voir de très, très près. Du côté brésilien, la Gorge du Diable est à couper le souffle !
.jpg)

Le lendemain, nous traversons en Argentine, à Puerto Iguazu. Le Parc National Iguazu avec ses aménagements respectueux de la nature nous permet de vivre une journée extraordinaire malgré la pluie intermittente.



Tous les sentiers empruntés dans la forêt tropicale, les 20 minutes en zodiaque sur la rivière Iguazu (14 km dans le canyon), la douche aux chutes des Trois Mousquetaires et à celle de la chute d’Adam, la promenade en train, les deux kilomètres sur la passerelle au-dessus de la rivière, l’observation de toucans, tout nous fait apprécier des beautés naturelles incomparables.
Nous terminons notre journée avec une courte visite aux trois obélisques, site d’observation des trois frontières : Argentine, Brésil, Paraguay. Puis au restaurant-grill El Quincho nous attendent un bon steak argentin, de la musique, de la danse. Tout y est pour bien terminer cette journée passée en Argentine.
Vendredi 18 avril, nous atterrissons à Rio de Janeiro…
Rose-Alice est à l’aéroport pour nous accueillir. Nous découvrons cette petite femme d’origine brésilienne parlant un excellent français, à l’œil vif, au regard espiègle et au sourire charmant. C’est en confiance que nous commençons l’exploration de cette magnifique ville : Rio de Janeiro !

RIO DE JANEIRO
D’abord, la montée vers le centre missionnaire des sœurs de l’Assomption, « CENAM », à 200 mètres d’altitude, en pleine ville de Rio, là où nous logerons : Incroyable ! cette vue imprenable sur la ville. En montant sur le toit, c’est un panorama de 360 degrés que nous avons.
D’abord, la montée vers le centre missionnaire des sœurs de l’Assomption, « CENAM », à 200 mètres d’altitude, en pleine ville de Rio, là où nous logerons : Incroyable ! cette vue imprenable sur la ville. En montant sur le toit, c’est un panorama de 360 degrés que nous avons.

Nous admirons le Corcovado, le Pain de sucre, l’océan Atlantique, toutes les favelas,…et les jours suivants les levers et couchers de soleil.

Samedi soir, Oscar nous rejoint après un périple de 24 heures en bus (Iguazu-Rio). Grands mercis à Roger, à Rose-Alice, à Oscar qui nous organisent les visites guidées à travers la ville.

Rose-Alice, grâce à toi, nous avons pu entrer en contact avec ce monde fermé des favelas.
Je crois que je peux parler au nom de mon groupe en disant qu’à la Favela dos Prajeres (des plaisirs) nous y avons trouvé un village organisé, impressionnant malgré la pauvreté visualisée.
Je crois que je peux parler au nom de mon groupe en disant qu’à la Favela dos Prajeres (des plaisirs) nous y avons trouvé un village organisé, impressionnant malgré la pauvreté visualisée.

La promenade en voilier dans la baie de Rio nous a permis d’admirer la ville « d’en bas » à partir de la mer. Ce fut un dimanche après-midi tout en douceur puisque nous avions retrouvé notre brebis perdue, et ce grâce encore une fois à Roger.
Rio c’est une ville de contrastes : la mer et la terre, les gratte-ciel et les collines de favelas, la pauvreté et la richesse, la nature et le béton et le tout en harmonie.
Dimanche soir, dernière soirée pour le groupe… André anime une « despedida » en l’honneur de Roger. Plusieurs coups de cœur spontanés lui sont exprimés : chants, mots de reconnaissance, humour, émotion, tout y est !
Et c’est sur la plage de Copacabana que notre séjour se terminera en ce lundi 21 avril 2008…
Plage de sable doux et presque blanc… Chant de la mer qui résonne encore dans ma mémoire et que je veux entendre encore longtemps, longtemps…
Merci à mon groupe des « 41 PBP-3 » pour tous les beaux moments partagés au travail, à la maison et lors des visites culturelles.
Et c’est sur la plage de Copacabana que notre séjour se terminera en ce lundi 21 avril 2008…
Plage de sable doux et presque blanc… Chant de la mer qui résonne encore dans ma mémoire et que je veux entendre encore longtemps, longtemps…
Merci à mon groupe des « 41 PBP-3 » pour tous les beaux moments partagés au travail, à la maison et lors des visites culturelles.
Gaétane Lemay,
Au nom de mon groupe PBP-3
COUPS DE CŒUR DE QUELQUES PARTICIPANTS DE PBP-3 EN CETTE FIN DE VOYAGE
-« Rio de Janeiro, Iguazu, le Brésil c’est un feu d’artifice pour la finale ! »
-« Du centre CENAM, c’est une vue à vol d’oiseau ! »
-« J’ai apprécié le fait de souligner chaque départ avec un souper-spaghetti ! »
-« Magnifique Iguazu ! La Gorge du Diable, diablement beau ! »
-« Les chutes Iguazu brésiliennes, de la dentelle à travers laquelle apparaît de la verdure qui résiste à la force de l’eau. C’est miraculeux ! »
-« Rio et la Gorge du Diable, deux beautés de la nature ! »
-« Si les Chutes sont une merveille naturelle, Rose-Alice l’est aussi ! »
-« J’ai aimé le côté moderne de la cathédrale San Sebastian, la statue de Saint François d’Assise et le chapelet. »
-« Mon coup de cœur, c’est la vue panoramique de la ville de Rio. »
-« Moi, c’est la messe à l’église de la favela quand les gens chantaient. J’ai ressenti une telle ferveur et foi. »
-« C’est le contexte naturel de la ville de Rio. Autant de richesses naturelles : les arbres, les montagnes, la mer. La ville se confond avec la nature. »
-«RIO »
-« Rio de Janeiro, Iguazu, le Brésil c’est un feu d’artifice pour la finale ! »
-« Du centre CENAM, c’est une vue à vol d’oiseau ! »
-« J’ai apprécié le fait de souligner chaque départ avec un souper-spaghetti ! »
-« Magnifique Iguazu ! La Gorge du Diable, diablement beau ! »
-« Les chutes Iguazu brésiliennes, de la dentelle à travers laquelle apparaît de la verdure qui résiste à la force de l’eau. C’est miraculeux ! »
-« Rio et la Gorge du Diable, deux beautés de la nature ! »
-« Si les Chutes sont une merveille naturelle, Rose-Alice l’est aussi ! »
-« J’ai aimé le côté moderne de la cathédrale San Sebastian, la statue de Saint François d’Assise et le chapelet. »
-« Mon coup de cœur, c’est la vue panoramique de la ville de Rio. »
-« Moi, c’est la messe à l’église de la favela quand les gens chantaient. J’ai ressenti une telle ferveur et foi. »
-« C’est le contexte naturel de la ville de Rio. Autant de richesses naturelles : les arbres, les montagnes, la mer. La ville se confond avec la nature. »
-«RIO »
-« Mon coup de coeur, c'est la somme des expériences vécues et la chaleur des gens rencontrés. C'est notre modeste contribution à leur mieux-être. Ce sont: les 9 vols d'avion, les 4 pays visités et leur population attachante, les 3 capitales, les 5 monnaies utilisées sans avoir à nous présenter à aucun comptoir bancaire, les 3 orphelinats visités, les merveilles du Patrimoine mondial, tous les projets d'aide humanitaire que nous avons découverts et auxquels nous pourrions nous joindre et les 41 personnes avec qui nous avons partagé toutes ces expériences.»
-« C’est le groupe. Nous sommes venus en amis, nous repartons en frères et sœurs. »
-« Roger ! Homme de passion, de compétition et d’action ! Après l’évènement de cet après-midi, la brebis perdue qu’il s’est empressé de retrouver, je repars plus confiante en la vie. Merci ! »
-« C’est le groupe. Nous sommes venus en amis, nous repartons en frères et sœurs. »
-« Roger ! Homme de passion, de compétition et d’action ! Après l’évènement de cet après-midi, la brebis perdue qu’il s’est empressé de retrouver, je repars plus confiante en la vie. Merci ! »
COUPS DE CŒUR POUR ROGER
-« Dès le premier groupe, j’ai été surpris de la vitalité que Roger a. Il traite chaque problème en gardant le contrôle. »
-« Comme St-Exupéry, je suis heureuse de faire la connaissance d’autres gens de notre petite planète. Je suis heureuse de pouvoir accueillir un groupe à Noël prochain et les enfants en sont aussi très heureux. »
-« Extraordinaire de concocter tout ça ! Tu es avec nous sans être là. Même la brebis en arrière, tu sais la retrouver. Tu es centré sur le résultat du projet et en même temps préoccupé par le bien-être de tous et le plaisir. »
-« Je souhaiterais que tous les prêtres de l’église catholique soient comme toi ! »
-« Tu es la bougie de la flamme du Guatemala ! »
-« Il y a deux façons de voir la vie :1) avec la tête 2) avec le cœur
Cet après-midi tu nous as montré comment tu la vois la vie, avec notre brebis manquante. »
-« Tu es un modèle de générosité. Je fais un témoignage de reconnaissance à Roger et merci à mon groupe pour l’empathie à mon égard. »
-« Merci pour le projet. Merci de la part des démunis. Merci pour le ressourcement que tu permets au groupe de vivre. »
-« À travers l’aide humanitaire nous recevons beaucoup. Je t’aime. »
-« Extraordinaire, le contact avec la population .Tu es la porte qui ouvre les cœurs. »
-« Merci de m’avoir accepté dans le groupe. »
-« Ta façon d’être déteint sur nous. »
-« Merci d’être notre père qui nous tient la main et nous guide. »
-« Faire un voyage avec le Bon Dieu…Qu’il est difficile de te ressembler comme dit la chanson ! »
-« Dès le premier groupe, j’ai été surpris de la vitalité que Roger a. Il traite chaque problème en gardant le contrôle. »
-« Comme St-Exupéry, je suis heureuse de faire la connaissance d’autres gens de notre petite planète. Je suis heureuse de pouvoir accueillir un groupe à Noël prochain et les enfants en sont aussi très heureux. »
-« Extraordinaire de concocter tout ça ! Tu es avec nous sans être là. Même la brebis en arrière, tu sais la retrouver. Tu es centré sur le résultat du projet et en même temps préoccupé par le bien-être de tous et le plaisir. »
-« Je souhaiterais que tous les prêtres de l’église catholique soient comme toi ! »
-« Tu es la bougie de la flamme du Guatemala ! »
-« Il y a deux façons de voir la vie :1) avec la tête 2) avec le cœur
Cet après-midi tu nous as montré comment tu la vois la vie, avec notre brebis manquante. »
-« Tu es un modèle de générosité. Je fais un témoignage de reconnaissance à Roger et merci à mon groupe pour l’empathie à mon égard. »
-« Merci pour le projet. Merci de la part des démunis. Merci pour le ressourcement que tu permets au groupe de vivre. »
-« À travers l’aide humanitaire nous recevons beaucoup. Je t’aime. »
-« Extraordinaire, le contact avec la population .Tu es la porte qui ouvre les cœurs. »
-« Merci de m’avoir accepté dans le groupe. »
-« Ta façon d’être déteint sur nous. »
-« Merci d’être notre père qui nous tient la main et nous guide. »
-« Faire un voyage avec le Bon Dieu…Qu’il est difficile de te ressembler comme dit la chanson ! »
-« Malgré notre différence de religion et malgré tes défauts…, je t’admire pareil.»
-« Même si je ne suis pas croyant, je t’admire comme homme, comme humain. »
-« Tes chants m’ont fait faire un retour à mon enfance et les gens rencontrés, c’est une vraie chance. »
-« J’admire ce que tu es : un dimanche, tu célèbres la messe dans une cathédrale et la semaine suivante, c’est dans une favela. »
-« Les dons que Dieu t’a donnés, tu les as multipliés plusieurs fois. Nous ne retournons peut-être pas meilleurs mais différents. »
-« Même si je ne suis pas croyant, je t’admire comme homme, comme humain. »
-« Tes chants m’ont fait faire un retour à mon enfance et les gens rencontrés, c’est une vraie chance. »
-« J’admire ce que tu es : un dimanche, tu célèbres la messe dans une cathédrale et la semaine suivante, c’est dans une favela. »
-« Les dons que Dieu t’a donnés, tu les as multipliés plusieurs fois. Nous ne retournons peut-être pas meilleurs mais différents. »



Roger,
Je me fais le porte-parole de CASIRA pour te rendre hommage. Si nous sommes ici , à la toute fin d’un voyage extraordinaire, rempli d’émerveillements, c’est qu’il y a trente ans, deux prêtres de la région de l’amiante, Roger et Germain, ont mis leurs efforts en commun pour venir en aide aux plus démunis dans le Tiers-Monde. Deux hommes généreux, curés dans des paroisses différentes et aussi professeurs au CEGEP. Ils fondent « AMISTAD-BRIGADE-PRINTEMPS ». Avec quelques bénévoles du CEGEP, ils ont bâti des projets, en ont organisé la mise en marche et surtout vu à leur réalisation. Depuis ce temps, un nombre impressionnant de projets ont été réalisés dans différents pays et ce, grâce à toi Roger.
On dit que le Seigneur aime les pauvres, les enfants, les malades, les gens démunis… J’y crois parce que j’ai la foi .Toi aussi tu aimes les pauvres, les enfants, les malades, les démunis. Par contre, je n’ai pas besoin de la foi pour le constater lorsque tu es en présence de tout ce monde. À leur rencontre, ton comportement change; ça se voit dans ton visage, tes yeux changent. Tu les prends dans tes bras, les serres fort, les embrasse et leur donnes ta bénédiction. Immédiatement, nous constatons un changement dans leur regard. Tu es un vrai père pour eux.
Au Paraguay, j’ai été très touché lorsqu’on m’a remis un certificat de gratitude pour CASIRA. Sois assuré qu’il va orner un mur dans le bureau de CASIRA.
Roger, à travers ce que nous avons vécu depuis deux mois dans les trois pays visités et où nous avons travaillé, j’ai ressenti une grande chaleur humaine et un dévouement sans borne auprès de chacun de nous. Je suis convaincu que les autres groupes ont eu le même traitement que nous…même si notre groupe a été le meilleur !...
Encore une fois Roger, mille MERCIS de nous tous, PBP-1-2-3 !!!
Longue vie à TOI et à CASIRA !
J’espère qu’on se reverra tous au mois d’août pour le « 30e anniversaire ».
Carol Bellavance
Au nom de CASIRA
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire